Les Biquettes de la coulée a su rayonner localement , régionalement et nationalement !! grâce à son succès au Défi OSEntreprendre cette année. L’entreprise était en lice pour le Volet création d’entreprise, Catégorie Exploitation-transformation-production
En résumé
- 19 avril : Lauréate locale du Défi – du Défi OSEntreprendre.
- 27 Avril : Lauréate régionale du Défi OSEntreprendre
- 31 mai : Entrevue officielle de sélection de la finale nationale du Défi OSEntreprendre. Isabelle fut recommandée par le Jury national de sa catégorie pour s’être démarquée par son profil entrepreneurial exceptionnel, sa personnalité inspirante et son leadership au sein de la communauté. Ainsi donc, l’entreprise est sélectionnée parmi les sept finalistes pour le prix du public ÉNERGIR.
- Du 31 mai au 12 juin une vidéo promotionnelle de l’entreprise à circulé à travers le Québec.
- 12 juin: Participation au gala de la finale du Défi OSEntreprendre à Québec à titre d’entreprise finaliste et pour le prix Coup de cœur du Public.
Monsieur Denis Santerre, préfet de la MRC de la Matanie, considère le Défi OSEntreprendre comme une belle opportunité pour les entrepreneurs : « Ce concours peut donner un coup de pouce aux gens qui souhaitent se lancer en entreprenariat, ça vaut la peine de tenter sa chance! Je suis fier de cette collaboration entre la MRC de La Matanie et OSEntreprendre, car elle permet de soutenir des projets créatifs de chez nous. J’invite certainement les gens à oser et à participer aux prochaines éditions du défi! ». Pour ce qui est de la collaboration au Défi OSEntreprendre, la MRC de La Matanie était mandatée responsable de la sélection des gagnants du volet local en matière de création d’entreprise. (Extrait du communiqué de presse de la MRC de la Matantie – 19 avril 2018)
«Ça a donné un coup d’envoi assez fulgurant à mon entreprise, la visibilité a vraiment été énorme, surtout avec le Prix du Public Énergir. Ça a vraiment offert une très grande visibilité à mon entreprise, je me faisais reconnaître partout où j’allais.»
(Extrait de l’entrevue V CFTF – 6 décembre 2018)